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La légende

Madame Butternut

Savon à la citrouille

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Ernestine Butternut, née en 1901 à North Hatley, petit village anglophone des Cantons-de-l’Est, a élevé ses enfants dans la créativité et la persévérance. « Allez jusqu’au bout de vos rêves », répétait-elle à sa descendance. Une fois ses enfants adultes, elle réalisa qu’elle leur avait tout donné , et qu’il ne lui restait pas grand chose. Elle ne fût pas longue à admettre qu’elle avait omit de mettre en pratique ses propres conseils!

Elle décida de se lancer dans la confection de pâtisseries à l a courge et à la citrouille.À grands coups de tartes et de muffins, elle devint rapidement la « mamie gâteau » du village. Savourant ces quelques bouchées de gloire locale, elle réalisa qu’elle avait un plus gros appétit qu’ elle ne le croyait. Se complaisant à gérer et ingérer de son opulente création, elle prit du poids. Était-ce un désir secret de se faire remarquer ? Toujours est-il que l ’envie la tenaillait d’ouvrir sa production sur le monde entier! Elle décida de commencer par l’Irlande, pays qui avait toujours exercé une fascination chez elle, prétendant même y avoir une lointaine parenté.

En 1954, prenant son courage à deux jambes, elle traversa l’océan dans l’espoir de se trouver un partenaire d’affaires. Elle obtint un rendez-vous avec le propriétaire de la brasserie Guinness et lui confia son projet avec flamme. M. Guinness, Sir Hugh Beaver, aussi allumé soit-il, avait d’ autres projets en tête, puisqu’il était sur le point de publier le premier livre des records Guinness. Mais Mme Butternut ne revint pas bredouille pour autant, cette rencontre lui avait inspirée une idée .

Dès son retour, elle s’empressa d’organiser les premi ers concours de la plus grosse citrouille. Elle raflait les prix coup sur coup, ce qui la comblait, mais ne lui retirait pas un poids sur sa conscience. Ses courges étaient devenues si charnues et si grasses, la matière première si surabondante et encombrante, qu’elle .... qu’ elle ... en jetait dans les ordures. Un de ces jours particulièrement lourd, pour alléger sa conscience ,elle se risqua à fabriquer un savon avec ses surplus de chair à citrouille.

Elle mit son savon sur le marché et, à sa grande surprise, il fit aussitôt fureur, dépassant la renommée de ses pâtisseries les plus populaires. On le disait onctueux, adoucissant, hydratant, caressant ... Il lui permit d’être reconnue, non pas seulement dans sa localité, mais partout au Qué bec... et en Irlande.

On dit qu’à partir de ce jour-là, Mme Butternut retrouva un poids santé.

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